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paroisses de vanves - Page 14

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES POUR LA DERNIERE SEMAINE AVANT LES VACANCES

    Ce fut le premier week-end sans élections, ni campagne électorale depuis de très nombreuses semaines. Les élus et militants de tous bords étaient heureux de souffler et de penser à autre chose. Avec un dimanche, plein d’annulations, un  temps pas très estival,  très pluvieux, beaucoup sont restés chez eux. Pas de fête de la musique au parc F.Pic avec les Trains-Savates, et place de la République avec un spectacle autour du tango « E Vento tango »  présenté le 21 Janvier dernier dans le cadre d’art Danthé auquel devaient participé une trentaine de vanvéens, et le « Quartet à Claque du gitariste et chanteur Hervé poulinquen. Pas de fête prévue par les paroissiens de Vanves pour remercier le pére Thirion de ses 16 ans passé à Vanves, reportée à la Rentrée, car le « pére de Vanves » était souffrant ce week-end. Mais les paroissiens avec le pére Vincent Hauttecoeur qui a célébré la grande messe dominicale, ont salué les 3 séminaristes, Cédric, Gauthier et Ambroise, pour leur deux années passées dans les comunautés de Saint François et de Saint Remy. Pas ou peu de matchs pour le tournoi Open de la Section tennis qui rassemble 340 concurrents et a vu sn équipe première masculine montée en Nat.1 ce week-end.

    Une seule politique a fait parlé d’elle ce week-end dans le Figaro à propos des verts : Lucile Schmid qui s’esprimait à propos de Daniel Cohn Bendit, l’eurodéputé et Jean François Placé, patron des sénateurs éclogistes « qui ont croisé le fer sur le comportement des dirigeants » d’EELV, en donnant raison au premier dont elle est très proche : « Il a eu raison de déboncer une manière d’être en politique, mais tort de personnaliser sa critique ». Tout en faisant dans l’autocritique selon le Figaro : « Avoir des élus, c’est plus facile que de fonder une écologie confrontée au réel ». Ele a aussi le sentiment que EELV refléte « une notion de l’écologie politique plus évanescente que jamais ».  D’après le Figaro, elle soutient le projet du député Européen Jean Paul Besset et du Sénateur des Hauts de Seine André Gattolin, de relancer « la Fondation pour l’éclogie politique »  dont le dossier n’a jamais été déposé, à l’image de la Fondation Jean Jaurés au PS ou la Fondation pour l’innovation politique à droite, destinée « à permetttre et nourrir le débat entre les intellectuels et les praticiens de l’écologie » indique Lucile Schmid qui voit sans le FN « sorti singulièrement renforcée de ces élections, un avertissement aux partis qui ne portent plus assez de  projets ».

     

    Mecredi 27 juin 2012

    A 11H au Bureau de poste Vanves Le Plateau : Inauguration du nouvel espace clients par B.Gauducheau, Maire, Laurent Lacomére adjoint au maire chargé des relations avec la Poste, Thierry Crop, directeur de l’enseigne La poste 2, Fabienne Aschehoug directrice du groupement « Les Rivages », Daniel Bodin directeur du bureau de Vanves le Plateau

    A 19H à l’Hôtel de Ville : Conseil Municipal avec à l’ordre du jour : Le compte administratif 2011, des modificattions budgétaires, la constitution d’un groupement de commandes réunissant GPSO et Vanves en vue de la passation de marché relatif à des prestations de contrôle technique sur des ouvrages, installations, équipements techniques et bâtiments, la définition des modalités de mise en œuvre du dispositif de participation du public prévu par la loi du 20 Mars 2012 relative à la majoration des droits à construire,  la conclusion d’un contrat avec la société publique locale Seine Ouest aménagement pour une mission d’assistance  auprès de la commune pour la consultation préalable à la cession des terrains A.Briand/Diderot, l’approbation d’un marché public relatif aux prestations de nettoyage des locaux et des vitreries des bâtiments communaux, l’adoption de la charte pédagogique de la restauration scolaire et du règlement intérieur des accueils périscolaires maternels et élémentaires,  une demande de subvention au Conseuil Régional pour une aide à l’équipement en projection numérique pour le théâtre Le Vanves, une convention d’occupation du PMS A.Roche pour l’organisation de stages de tennis, l’actualisation desx redevances d’utilisation des installations sportives par le public

    A 19H au Pavillon des Sports (PMS A.Roche) : Comité Directeur du Stade de Vanves

    Jeudi 28 Juin 2012

    A 9H30 au Conseil Régional : Séance plénière à laquelle participe B.Gauducheau durant laquelle seront examinés notamment la création d’une haute autorité organisatrice du logement en Ile de France  qui fait énormément débat actuellement parmi les élus du Grand Paris, la politique régionale envers les lycées privées sous contrat d’association où il s’agit de supprimer les dotations relatives à la gratuité des manuels scolaires, à l’aide à l’équipement, à l’aide à la demi-pension, ainsi qu’à l’aide aux frais de concours sous la pression du groupe PRG qui a obtenu la création d’un Conseil régional consultatif de la Laïcité,   le programme prévisionnel d’investissement des lycées (2012-22), la stratégie régionale de dévelopement économique et d’innovation, les politiques régionale du tourisme, de l’eau, les projets de schéma régionaux du climat, de l’air et de l’énergie, de l’éolien, les aides régionales au cinéma et à l’audiovisuel.

    A 18H30 à la Mairie de Boulogne : Conseil Communautaire GPSO   

    A 20H30  au theâtre Le Vanves : 2éme concert des jeunes groupes locaux de musiques actuelles organisé par le Comité Consultatif de la Jeunesse

    Vendredi 29 Juin 2012

    A 9H30 au Conseil Régional : Séance plénière

    A 10H au Conseil Général des Hauts de seine : Séance plénière à laquelle participera Guy Janvier, conseiller général PS de Vanves. Les élus devraient auditionner le préfet des Hauts de seine présenter le bilan de l’action des services de l’Etat en 2011 comme c’est le cas chaque année à cette période

  • ROBERT THIRION « NOTRE PERE DE VANVES » PREND VRAIMENT SA RETRAITE

    « Vous êtes un pére pour nous tous, car vous nous apportez espoir et bonheur » avait déclaré le maire de Vanves pour les 90 ans du Pére Thirion auquel toute la ciommunauté paroissiale de Vanves dira  aujourd’hui toute sa reconnaissance pour ces belles années passées parmi les vanvéens. Car Robert Thirion, « notre pére de Vanves » a vraiment pris sa retraite depuis quelques semaines, en ne résidant plus à la maison paroisssiale de Saint Remy, mais dans une maison de retraites du côté de Denfert Rochereau. Ce qui ne l’empêche pas d’être encore présent à Vanves pour des cérémonies, des célébrations. 

     

    C’est une page qui se tourne pour ce « gamin de Paris » ordonné prêtre un 21 Juin 1961 à la Cathédrale Notre Dame de Paris. Il a habité pendant les trente premières années de sa vie à la limite Nord de Paris en face des fortifs prés des lignes de chemins de fer portant vers l’Est et le pont de Flandres. Il a connu les Octrois, les abattoirs de la Villette, le canal de l’Ourcq, le bassin de la Villette… « Mes différents ministéres en banlieue sud m’ont fait passer de la rive droite à la rive gauche, mais ils ne m’ont pas empêché de rester toujours un vieux parisien » confie t-il. Il a été pupille de la Nation après la mort de son pére, ancien combattant de 14-18, auquel il portait un grand amour. C’est d’ailleurs  peu de temps après qu’il situe sa conversion et le point de départ de sa vocation sacerdotale, lorsque, lors d’un séjour, avec des amis, il se retrouve seul dans une île encerclée par les deux bras d’une riviére qu’il dénommera « l’île aux trésors » : « Ce fut l’état de grâce. Je tombais à genou. Je me suis mis à prier. J’ai beaucoup pensé à mon pére. J’étais décidé à changer de vie, plus exactement de mener ma vie au lieu de me laisser mener par ce que Pascal nommait divertissement ».   

     

    Etudiant à l’Ecole Normale d’Instituteur (en 1937), il a effectué ses premières années d’instituteur dans une école du Bourget entre Février et Juin 1940, mais il se retrouva vite en ce début d’été sur les chemins de l’exode. Il fait même parti des rares français qui ont entendu l’appel du 18 Juin du Général de Gaulle dans un restaurant où il avait passé la nuit couché sur le plancher. Après l’armistice et à la Rentrée de Septembre 1940, il était nommé à Pantin où il est resté rattaché toute sa carrière d’enseignant de 1940 à 1946, avant d’entrer au séminaire de Saint Sulpice à Issy les Moulineaux. C’est durant toute cette période de l’occupation que sa vocation a mûrie grâce à Pierre et son épouse Jeanne, à Paul, tous normaliens comme lui, et qu’il a commencé à découvrir la théologie. Il a bien sûr cherché pendant l’occupation à échapper au STO en essayant de rejoindre la zone libre sans succés, réussissant quand même à se faire nommer en 1943 pour s’occuper des enfants parisiens éloignés à cause des bombardements.

     

    Il a vécut une trentaine d’années à Issy Moulineaux, où il a connu  tout d’abord sa période Bleu à Saint Etienne, échappant à un poste de préfet dans un collége catholique, mais pas au rôle d’aumonier pour de nombreux groupes de jeunes de cette paroisse, rassemblés au sein des scouts, guides, J.O.C., sans parler des cathéchismes, des écoles libres d’Issy. « Tout était bleu, nous nous retrouvions entre jeunes prêtres autour du pére Liége et d’autres animateurs du renouveay théologique ou pastoral, entre aumoniers de secteur de la J.O.C, de l’ACO…Nous repensions l’église, indépendamment de vieilles structures que nous supportions plus ou moins bien ». Le curé de Saint Etienne le fit nommer responsable de la chapelle de Saint Bruno sur les hauteurs d’Issy à côté du fort et prés des futurs ZAC Rodin avec ses tours et quartier des Epinettes. Ce fut sa période Rose de la couleur des briques de la chapelle qui avait été confiée jusque là aux fréres de la Charité, pendant 12 ans. Il a ainsi côtoyé une population cosmopolite, composée d’italiens, de portugais, d’espagnols, d’arméniens, les familles des gardes mobiles, des ingénieurs militaires, des infirmiéres de l’hôpital Percy. « Du Presbytére, moderne et confortable, nous avions une vue panoramique sur Paris et nous avons souvent prié, au cours des chemins de croix du venndredi saint dans les rues du quartier en contemplant les lumières de la ville ». Il y vécut Mai 1968 « alors que les gardes mobiles s’affrontaient avec leurs fils, étudiants ».

     

    Mais il a surtout rencontré les répercussions de Mai 68 lorsqu’il a rejoint l’équipe sacerdotale de Malakoff en 1971 à Notre Dame de la Médaille Miraculeuse. Ce fut sa période Fauve  par rapport aux deux précédantes, « car mes confréres qui prenaient plaisir à s’affronter comme des lions, au cours des réunions d’équipe hebdomadaire étaient, chacun à sa manière, des pasteurs très généreux, et très missionnnaires. Mais les coups de griffres étaient fréquents entre eux » raconte t-il. Elle fut suivie d’une période Verte aux Blagis en 1984 où il est resté 10 ans.Vanves fut sa période Rouge et Or, « pour les enfants, pour le soleil couchant. C’est la période de la retraite, depuis plus de 18 ans » confiait t-il à l’auteur de ce blog. Ne disait il pas dans ce texte paru le 2 Mai 2010 dans Sel et Lumière et titré : « Prêtre toujours….Laïc encore »: « C’est dans ce peuple de Dieu que je veux être prêtre pour toujours parce que ce peuple des faubourgs et des banlieues parisiennes a toujours porté mon sacerdoce. Que serais-je sans vous ? Vous m’avez aidé et vous m’aiderez encore à être, à la suite de Jésus, « un homme pour les autres ». C’est si difficile, aussi bien pour un laïc, une religieuse ou un prêtre ! ». Ce qu’une grande majorité  de vanvéens  apprécie chez ce pére, c’est son humanité qui le conduit à rendre à l’aise croyants ou non croyants, bouffeurs de curé comme grenouilles de bénitiers, lors de cérémonies joyeuses (mariages, baptêmes) que malheureuses (obséques) par des paroles toujours touchantes dont la plupart ressorte avec le souvenir d’avoir rencontré un saint homme.   

  • LA RELIQUE DU CŒUR DU CURE D’ARS A VANVES

    Le diocése des Hauts de Seine  accueille depuis hier soir,  la  relique du cœur du Saint Curé d’Ars qui vient ainsi « à la rencontre de notre expérience de la foi dans le cadre de l’année sacerdotale puisque 2010 est l’année du prêtre » explique t-on à l’évêché de Nanterre. Elle sera aujourd’hui à Vanves, puis samedi  à la chapelle St Jean Marie Vianney et à Bois Colombes et Dimanche à Boulogne, donnant lieu à des messes, à des temps et des veillées de prières, de témoignages  sur la vocation bien sûr.

     

    Dans nos paroisses vanvéennes, la relique sera accueillit de 17H à 20H à Saint François d’Assise avec un temps proposé pour les enfants afin de découvrir la vie du curé d’Ars, l’exposition du reliquaire (à partir de 18H), une messe (à 19H) de la Saint Joseph et la prière pour les familles ; et de 20H30 à 22H30 à Saint Remy avec Exposition du reliquaire, veillée de prières, soirée diocésaine : « En nous posant devant le reliquaire, nous sommes invités à entrer dans une démarche de foi, proposée par le diocèse pour retrouver les gestes de l’incarnation » expliquait le père Alexandre Pincé dans le Sel et Lumière de Dimanche dernier. Et Samedi, dans le prolongement de cette rencontre 53 jeunes de 5éme de Vanves feront leur profession de foi, entourés par leurs parents, leurs parrains et marraines, leurs familles et leurs amis.

    « La sainteté vient à notre rencontre, à Vanves par le truchement de cette relique. Laissons nous déplacer par cette piété populaire plutôt que de regarder de manière hautaine ceux qui désirent aujourd’hui poser des gestes bien incarnés que notre foi propose : un peu d’eau, de la lumière, une croix…Si ces signes évoquent quelque chose pour nous, ils peuvent aussi être utilisé pour un baptisé né il y a 200 ans mais vivant dans le cœur de Dieu » ajoutait il

     

    UNE TRADITION ANCESTRALE

    Les vanvéens comme les altoséquanais vont renouer pendant ces 3 jours avec une très vieille tradition. « Dès le début de l’histoire de l’Eglise, c’est-à-dire depuis l’évènement de la résurrection du Christ, les chrétiens ont pris l’habitude de venir prier sur les lieux des martyrs : là où des hommes, des femmes ont donné leur vie jusqu’au bout pour Jésus-Christ. On a prié, célébré la messe sur les lieux mêmes où ils étaient enterrés, et notamment dans les catacombes romaines. Si l’Eglise a toujours eu en vénération et gardé précieusement les reliques des saints – c’est-à-dire les « restes » d’hommes et de femmes, chrétiens, baptisés, qui ont suivi et aimé le Christ jusqu’au bout – c’est pour des raisons toutes simples. Tout d’abord, les reliques sont « des restes » de quelqu’un qui a véritablement existé. Sa vie est bien connue, son histoire, les lieux où il a vécu, on peut mettre des dates… On n’est pas simplement devant un symbole, une image ou une belle idée ! Ensuite, les reliques nous rappellent une vérité chrétienne fondamentale : depuis le jour de son baptême, le chrétien est devenu un « temple de l’Esprit Saint », il est « habité par Dieu ». Ce qui distingue un chrétien, c’est qu’il est habité par l’Esprit Saint » explique t-on à l’Evêché.

    « Si nous venons vénérer la relique du cœur du saint curé d’Ars, c’est donc tout simplement pour rendre grâce pour ce que l’Esprit Saint a fait de beau dans sa vie et qui a illuminé toute l’Eglise ; rendre grâce pour ce qu’il a fait dans ce cœur avec lequel Jean-Marie Vianney a aimé, avec lequel il a vécu son ministère de prêtre, avec lequel il s’est donné à ses paroissiens… C’est aussi pour lui demander de nous aider à croire que l’Esprit Saint est notre force pour aimer et devenir saint.  Nous venons prier auprès des reliques des saints parce que nous croyons à la résurrection du corps et à la vie éternelle. Aussi notre prière est-elle portée par St Jean-Marie Vianney dans la foi en la communion des saints. Ce signe fragile – les restes de son cœur – est pour nous un signe de la présence du saint, toujours vivant auprès de Dieu et intercédant en notre faveur. Voilà le sens de la vénération des reliques ».

     

    LE PATRON DE TOUS LES CURES

    Jean-Marie Baptiste Vianney, dit le saint Curé d'Ars, est né le 8 Mai 1786 à Dardilly préx de Lyon, et mort le 4 août 1859 à Ars sur Forman, village de la Dombes dans l’Ain  qui comptait 20 habitants, où il fut curé pendant 41 ans. Il a été nommé patron de tous les curés de l'Univers par le pape Pie XI en 1929 et patron de tous les prêtres du monde par le pape Benoit XVI en Juin 2009. Que fit donc ce nouveau curé que les vanvéens comme d’autres vont vénérer : « Fin psychologue, il se mit à l'écoute des paroissiens. Partant de la réalité de leur quotidien de simples paysans, il donnait constamment l'impression de vouloir les « tirer vers le haut ». Il les rendait responsable du bien commun en leur mandant de réaménager le cimetière, d'entretenir l'église, d'organiser des fêtes qui ne fussent plus des lieux de perdition. Il était convaincu que l'éducation et l'enseignement catéchistiques stimuleraient les âmes pour les conduire vers la sainteté ».

     

    Il a  ouvert une école de filles dite « Maison de la Providence » en 1824, puis une école de garçons en 1849, confiée aux Frères de la Sainte Famille de Belley : « Laissez vingt ans une paroisse sans prêtre, on y adorera les bêtes » avait-il constaté. Sa piété, ses sermons et son zèle pastoral ramenèrent peu à peu la ferveur religieuse dans sa paroisse, et attirèrent les pélerins. « Homme de prières, il dormait très peu : il se levait tous les matins très tôt pour aller prier dans l'église glacée. Il passait des journées entières à confesser, convaincu que son pari de ramener ses paroissiens vers Dieu pouvait être gagné à condition de faire confiance à la miséricorde divine. Le saint curé d'Ars était déjà considéré comme un saint de son vivant tant il était dévoué à l'œuvre de  Dieu Il disposait de grâces étonnantes notamment comme confesseur. Sa charité était par ailleurs sans limite : il mangeait peu, passait des heures entières en adoration du Saint Sacrement. Il dormait peu, surtout à la fin de sa vie, passant jusqu'à seize heures par jour à confesser ; il redistribuait tout ce qu'on lui donnait et n'hésitait pas à se démunir encore pour subvenir aux besoins de plus pauvre que lui ». Il mourut à Ars le 4 Août 1859 complètement épuisé.